Léon LAISNE n’a jamais cherché à réaliser des voitures de course rapides, mais il privilégie le grand confort. A cette époque les routes bombées, défoncées et pleines d’ornières mettaient les véhicules à rude épreuve. Grâce à ses châssis et ses suspensions, dès ses premières constructions (1909) il a su allier souplesse et solidité dans ses châssis et ses suspensions il continuera toute sa vie ses recherches sur le confort, l’esthétique et la sécurité.
1er châssis Léon LAISNE 1909
1915 C’est la guerre, Léon Laisne est à Ancenis. Il construit des tours et présente toujours ses voitures.
Plan de châssis de 1914
On a le même plan que celui de 1915 (Ancenis) mais avec la nouvelle adresse à Nantes.
Un nouveau radiateur qui est plus arrondis mais le chassis et la suspension n’ont pas changés
Cette photo très abimée représente le premier châssis muni de ses 4 roues indépendantes par bras de levier, les recherche avaient commencée des 1920, les ressorts sont dans le châssis qui est tubulaire.
En 1924 Léon LAISNE sort certaines voitures sous le nom de « Automobiles Idéal Système Léon LAISNE »
En 1925 il donnera comme intitulé à sa marque « Ateliers de Construction d’Automobiles de l’Ouest Système Léon LAISNE »
Améliorez le confort de votre voiture en lui adjoignant le système de suspension Léon LAISNE
Cette série de photos a été réalisée pour le client.
Le photographe prenait des clichés avec différentes vues de l’avancement de la construction; pour cette série le client voulait des photos de son châssis, afin de pouvoir montrer la technologie moderne de sa suspension . L’ensemble des photos étaient livrées dans un petit album toilé rouge avec des écritures or.
A l’usine les préparatifs du salon.
De gauche à droite deux des fils de Léon LAISNE, Robert et René LAISNE, les 4 mécaniciens qui ont réalisé le montage complet du châssis pour la présentation au Salon de l’Auto de Paris 1926, la secrétaire et M. Léon LAISNE.
Cette suspension équipe aussi le châssis Type V 17cv ci dessus
Pour les amateurs de mécanique et pour le plaisir du détail.
Ces plans étaient dans les ateliers ou des ouvriers spécialisés suivaient les côtes pour la réalisation des pièces.